Découvrez Marine Paing, ancienne étudiante et diplômée de l'école du Cercle digital (ex-ESTEN). Après sa formation, elle a poursuivi sur un master avant de décrocher un poste de Responsable de communication. Elle nous raconte son parcours.

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Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Bonjour ! Moi c’est Marine, j’ai 24 ans et je suis jeune professionnelle sur Tours depuis 6 mois maintenant. Côté perso, je suis relativement autodidacte et aime beaucoup la musique, ce qui me permet d’apprendre à jouer de la guitare et du violoncelle à mes heures perdues. Fun fact, je peux faire un trèfle à 3 feuilles avec ma langue !

Qu’avez-vous fait avant d’intégrer l’école du Cercle digital (ex-ESTEN) ? 

J’avais repéré l’ESTEN alors que j’étais en première scientifique et cherchais une école post-bac. D’une nature plutôt entrepreneure, j’ai été séduite par l’aspect polyvalent, me permettant de découvrir les bases du graphisme et numérique, en ayant en tête de pouvoir me spécialiser par la suite avec un master dans le domaine qui m’aura passionné. J’ai ainsi intégré l’ESTEN juste après mon lycée. 

Qu’avez-vous fait après l’école du Cercle digital (ex-ESTEN) ?

Suite à mon Bachelor, j’ai finalement choisi d’augmenter mon bagage, finalement assez technique, par des notions de communication plus générale. Je me suis donc orientée vers le master de manager de la communication proposé par l’Ircom à Angers. J’y ai appris le management, à créer des stratégies de communication, les notions de communication financière, l’évènementiel, etc. Les deux formations se sont très bien complétées et m’ont équipé d’un beau bagage pour me lancer dans la vie professionnelle !

Où travaillez-vous maintenant ? 

Tout juste diplômée de mon master, j’ai décroché mon premier CDI comme assistante de communication interne et externe chez CITERNEO, entreprise dans l’industrie qui fabrique des citernes souples (pour stocker toute sorte de liquides) à Amboise. 

En quoi consiste votre métier ?

Le métier de chargée de communication consiste à communiquer les informations au quotidien au sein de l’entreprise et vers l’extérieur. En interne, il va s’agir d’être le canal de transmission des informations entre la direction et les collaborateurs (et réciproquement). À l’externe, le chargé de communication échange avec les médias, les fournisseurs, les clients, les partenaires, etc. Cela passe par la gestion des réseaux sociaux, l’envoi de newsletters ou l’organisation d’évènements par exemple. 

Pouvez-vous nous raconter une de vos journée type ?

On peut difficilement décrire une journée type. Chaque jour, les projets varient et évoluent en fonction de l’actualité. Bien sûr, il faut quotidiennement répondre aux mails et gérer les réseaux sociaux, mais ensuite je vais travailler sur le projet du moment, qui peut être de réaliser un communiqué de presse, organiser un évènement ou rédiger un post.

En quoi la formation vous a été utile pour votre métier actuel ?

Je travaille aujourd’hui avec des graphistes et développeurs ; la formation m’a tout d’abord appris à comprendre leur langage me permettant de réaliser des projets avec eux, en ayant en tête la faisabilité technique de mes idées. J’y ai également appris les notions graphiques me permettant de réaliser des documents professionnels et créatifs. Ma formation à l’école du Cercle digital m’a aussi appris à gérer un projet dans son intégralité, chose essentielle dans la communication. Je pourrai citer encore beaucoup d’éléments, il est difficile de résumer 3 ans de formation en quelques lignes ! Car au-delà de la formation technique, la formation Sup’Édition forme également à avoir une posture professionnelle.

Que pensez-vous de l’école et de la formation ? 

Ayant fait partie des toutes premières promotions de l’école, l’organisation des cours n’était pas toujours au rendez-vous. Cependant, au niveau de la formation je ne regrette pas mon choix qui m’a apporté une formation très solide et un éventail large des outils et techniques numériques. Les 3 années réparties entre les outils print et web sont très bien construites. Les petites promotions permettant un accompagnement de chaque élève est très appréciable. Nos intervenants sont tous des professionnels très bons dans leur domaine dont les conseils et retour d’expérience sont précieux. Petit bémol, malgré leurs compétences techniques, le côté pédagogue leur a peut-être manqué parfois.

Avez-vous des conseils pour les étudiants actuels ?

Un gros point fort du Bachelor du Cercle digital est la possibilité d’avoir accès à de vrais projets avec des professionnels ayant un besoin réel. Faites-en le plus possible ! Ils apprennent à avoir une posture professionnelle, permettent d’agrémenter son book (très important pour sa recherche d’emploi par la suite) et poussent nos compétences à leur maximum. Ils permettent également de rassembler les connaissances de plusieurs matières étudiées en cours. Avec du recul, ces projets « boost » m’ont beaucoup appris et enrichis. Alors ne laissez pas passer cette chance !

Quel est le projet / le moment qui vous a le plus marqué pendant vos trois années de formation ?

Nous avons passé l’intégralité de la première année à travailler sur la création d’un livre de A à Z. Nous avons choisi le thème – Contes et légendes de Touraine –, le public visé (les enfants), rédigé le contenu, réalisé les illustrations, demandé des devis, suivi l’impression et avons été nos propres distributeurs jusqu’à la mise en vente en magasin. Ce gros projet fut aussi passionnant que formateur ! 

Quel est votre meilleur souvenir à l’École du Cercle digital ?

Nous avons eu la chance d’avoir des professeurs dynamiques et entreprenants. Je pense par exemple à notre professeur de community management, Antoine Perigne, avec qui nous avons passé des cours si drôles ! Mais je crois que je me souviendrai surtout d’un cours de vidéo où nous avons refilmé un extrait des Visiteurs dans les rues de Tours. Gêne, fou rires, découvertes, premiers pas de comédienne et surtout un souvenir mémorable de cette après-midi-là qui m’a donné le goût de la vidéo !

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