Article publié le 14/01/2019
Avant Sup’Édition, j’ai passé un Bac ES spécialité mathématiques au lycée Notre Dame La Riche à Tours, avant de partir un an en échange culturel au Mexique avec le Rotary International.
J’avais déjà décidé d’intégrer l’école en première. Deux choses m’ont attiré : la polyvalence de la formation et le fait qu’elle corresponde aux attentes du marché du travail. Elle forme à toute sorte de métiers très recherchés et cela permet de s’insérer dans le monde professionnel dès la sortie de l’école.
Le projet éditorial de première année est très intéressant, il permet une application concrète et rassurante de tout ce qui a été appris au cours de l’année, et c’est une expérience qui nous apprend surtout le respect des délais. Sur le projet j’ai été chargée de réaliser la maquette avec trois autres étudiants, et j’ai intégré tous les textes à cette maquette à la fin du projet. C’était assez éprouvant et stressant car nous étions en retard et il a fallu modifier plusieurs détails au dernier moment… On a vécu un véritable rush pour finir dans les délais !
Ce qui me plaît le plus cette année, c’est la vidéo ! Les cours de cadrage et de montage sont géniaux, et nos professeurs sont de vrais professionnels passionnés !
Plus tard, j’aimerais être reporter de guerre indépendante ou reporter pour l’armée ; travailler dans le cinéma me plairait énormément aussi !
J’ai effectué mon stage de fin d’année dans une petite galerie de mobilier design à Montmartre (Paris). J’ai été chargée de mettre en scène les objets exposés dans la galerie, de les prendre en photo dans les rues de Montmartre et de les retoucher pour Instagram. J’ai adoré mon stage et comparé à d’autres, je l’ai fait en petit comité au sein d’une équipe composée uniquement de filles !
Cette année j’avais envie de bouger, de voyager et de m’engager dans un projet qui a du sens.
Je suis convaincue que ce sont les expériences qui forgent les caractères et le 4L Trophy semble être une expérience incroyable. Ce rallye est à la fois sportif et humanitaire, il demande une véritable organisation et une motivation infaillible si l’on veut pouvoir être sur la ligne de départ. De la récolte de fournitures scolaires à la recherche de sponsors, la bataille est de longue haleine, mais à la fin on sera fier de n’avoir rien lâché !
Formatrice !